En ces temps de pandémie, une attention toute particulière a été portée sur les mesures sanitaires et la désinfection en général.
Parmi les solutions les plus utilisées par les laboratoires, institutions de soins et autres hôpitaux, on retrouve en bonne position la technologie UV-C et à l’ozone comme assainissant et désinfectant.
Au vu des demandes croissantes dans des secteurs bien au-delà du médical, cette technologie relativement couteuse (lorsque son efficacité est démontrée) et contraignante s’adapte progressivement à son nouveau marché et de nouvelles solutions plus adaptées voient le jour.
Bardé d’une flopée de certifications attestant de son efficacité, le SaniSpace 60H est une de ces machines qui utilisent les ultraviolets et l’ozone pour purifier les espaces de vie.
UV-quoi ?
Il existe 3 types d’ultraviolets que l’on classe selon leur longueur d’onde.
Les UV-A (entre 315 et 400 nanomètres) et les UV-B (entre 280 et 315 nm) sont bien connues pour leur dangerosité pour l’épiderme après une trop longue exposition, avec des risques tels que des coups de soleil, mélanomes et autre cancer de la peau.
L’humain n’est par contre pas exposé de façon naturelle et/ou concentrée aux UV-C (entre 280 et 100 nm, la plus courte des 3 types d’UV), car ils sont filtrés par la couche d’ozone et n’atteignent pas (ou peu) la surface de la Terre – et heureusement !
Ces UV-C sont extrêmement énergétiques, ce qui leur donne un pouvoir d’altération considérable sur les molécules biologiques.
On utilise ainsi la lumière UV-C depuis des décennies pour inactiver les virus et les micro-organismes tels que les bactéries, les moisissures, les spores, les champignons et les levures en détruisant leur ADN ou leur ARN (une molécule qui constitue le génome chez certains virus) ainsi bien dans l’air que dans l’eau.
On peut créer artificiellement des UV-C avec des lampes spéciales dont on contrôle avec précision la longueur d’onde. L’air qui passe devant est instantanément purifié.
On trouve ces systèmes de désinfection dans le médical, mais aussi dans les piscines, aquarium, blanchisseries ou pour rendre de l’eau potable depuis des années.
De l’Ozone à petite dose
L’ozone est naturellement présent dans l’air que nous respirons en plus ou moins faible quantité. Si de fortes concentrations sont néfastes pour l’humain, l’O3 constitue en revanche un puissant assainissant bactéricide.
En effet, sa structure moléculaire instable va libérer un atome isolé qui va s’agripper à chaque molécule rencontrée. L’ozone se lie ainsi aux micro-organismes qu’elle croise en les oxydant jusqu’à destruction totale. Les virus, les bactéries et les odeurs sont éliminés de l’air, de l’eau et des surfaces.
L’ozone peut être créé artificiellement via des lumières à UV-C ou par un générateur à décharge.
Dans notre cas, lorsque la longueur d’onde descend entre 100 et 200 nm, les ultraviolets de type C réagissent avec l’oxygène de l’air (O2) pour former de l’ozone (O3). Le tout étant dans le dosage de celui-ci et sa bonne utilisation.
C’est dangereux ?
Si vous avez lu ce qui précède, vous aurez compris que la réponse est OUI, ces technologies peuvent être dangereuses si elles sont mal fabriquées ou mal utilisées.
Pour commencer, les UV-C modifient l’ADN, sont cancérigènes et peuvent provoquer de sévères lésions aux yeux (jusqu’à la cécité complète).
En ce sens, nous recommandons des appareils à UV-C qui fonctionnent en système scellé qui préviennent l’exposition directe. Ces appareils peuvent être utilisés en présence d’humains et animaux, contrairement aux machines à UV-C « directs », certes plus performantes, où la lampe irradie dans une pièce obligatoirement vide de toutes formes de vie.
Il en va de même pour les ozoniseurs spécifiques pour « traitements de choc » (court et intense), qui désinfectent à l’aide de niveau d’ozone dangereux pour la santé. La pièce doit en outre être aérée après utilisation, ce qui rend l’opération chronophage et contraignante – même si très efficace.
Comme tous les gaz dangereux, l’ozone est soumis à une valeur seuil de 0,1 ppm – correspondant à 0,22 mg O3/m3 d’air.
Le modèle H60 que nous avons sélectionné produit 0.04 ppm de manière stable et continue afin de proposer une diffusion lente et récurrente d’une petite dose d’ozone compatible avec une utilisation médicale et grand public.
SaniSpaces H60
Dans la gamme SaniSpace, le H60 est probablement celui qui s’adapte le mieux à cette nouvelle demande de purification de l’air ambiant. C’est le seul que vous pouvez utiliser sans risque et sans perte de temps.
L’utilisation des UV-C pour produire de l’ozone n’est pas nouvelle, mais la façon dont les produits Sanispaces utilisent les UV-C, à une fréquence spéciale et à basse tension, le rend unique et garantit qu’aucun gaz nocif type NOx ne sont produits pendant le processus de purification de l’air.
Le H60 est un petit rectangle (31 x 9 x 9 cm) en acier inoxydable muni d’un ventilateur, d’une lampe JIMCO spécifique et de quelques évents occultant pour faire entrer et sortir l’air dans la machine sans diffuser trop de lumière.
Il convient pour traiter une pièce d’environ 60 m3 et sera idéalement placé en hauteur pour maximiser son effet.
Comme l’ozone est plus lourd que l’air, il « poussera » l’air non traité vers le haut de la pièce, où il sera aspiré dans le Sanispace. La lumière UV-C désinfectera l’air et l’excédant d’ozone créé ressortira de la machine pour se répandre dans l’air et sur les surfaces à désinfecter.
Une fois que l’ozone réagit avec les odeurs, les virus, les bactéries, les levures ou les spores fongiques, il se décompose et retourne sous la forme l’oxygène. Et voila !
Avantages
✓ Réduction du risque de transmission de maladies infectieuses.
✓ Efficace contre les bactéries, virus, champignons et moisissures.
✓ Elimine les mauvaises odeurs dans l’air ou incrustées dans les tissus.
✓ Désinfection sans produits chimiques – écologique
✓ Portable et facile à déplacer de pièce en pièce, jusqu’à 60 m3
✓ Peut être utilisé dans les pièces occupées par des personnes et des animaux
✓ Sans entretien, sans filtre. La lampe dure 8000h, soit 1 an d’utilisation en continu.
Dans les salles d’attente, les maisons de retraite, les chambres d’hôpitaux, dans les crèches, mais aussi dans les cuisines, les salles de bain ou écoles, opticiens, pédicures ou coiffeurs : le H60 s’intègrera dans tous les endroits ayant besoin d’une hygiène digne de ce nom.
Chez Impact Santé, le H60 est a trouvé sa place en hauteur derrière le comptoir
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